 SAUVONS LES CORPSCette peine de mort que le sujet s’inflige à lui-même, c’est la honte de vivre ou, plutôt, la honte d’avoir un corps vivant. Le corps redevient en effet l’enjeu principal du sujet : une cassure narcissique se produit de façon si profonde que le sujet, auteur d’une faute imaginaire, destitue son propre corps. |